La force de la science à l’appui de la méthode dietplus !

Le 5 février 2024

dietplus et la science : une association qui fonctionne au service de la lutte contre l’obésité. Retour sur le webinaire présenté dernièrement par Philippe Langohr, président et co-fondateur de l’enseigne, et le Pr Jean-Jacques Houben, président du conseil scientifique dietplus.

Actuellement en suivi dans un centre, coachs du réseau ou encore membres du corps médical ou soignant : nombreux étaient les participants au webinaire organisé par dietplus le 25 janvier !

Le thème avait de quoi attiser la curiosité : il s’agissait de présenter les résultats de la grande étude scientifique menée entre 2021 et 2023, qui valident les effets de notre programme sur les personnes en obésité.

Résultats qui ont fait l’objet d’une publication au mois de novembre dans Nutrients, la 8e plus importante revue scientifique au monde dans le domaine de la nutrition.

Les intervenants étaient Philippe Langohr, co-fondateur et président de dietplus, et le professeur Jean-Jacques Houben, professeur de chirurgie bariatrique, de l’université libre de Bruxelles, et président du conseil scientifique.

Aux origines de dietplus et du conseil scientifique

Philippe Langohr a rappelé que les débuts de dietplus remontent à 2010, avec l’ouverture du premier centre où lui-même officiait comme coach. Le réseau s’est ensuite rapidement développé, enregistrant année après année des pertes de poids par milliers (plus de 600 000 au total à ce jour). « J’ai toujours été passionné, évidemment, par la nutrition et partout ce qui concerne le médical et la santé. En 2020, on a décidé d’ajouter à la puissance de dietplus un conseil scientifique. Cela me semblait très important pour rassurer les coaches, pour rassurer aussi les clients, mais aussi pour remettre en cause la méthode qu’on avait mise en place que ce soit au niveau des plans diététiques, des compléments alimentaires ou de la méthodologie », a indiqué Philippe Langohr.

Dans un premier temps, le comité scientifique a analysé l’ensemble du programme, ce qui a donné lieu à quelques ajustements. « Puis, nous nous sommes dit qu’il fallait se lancer réellement dans la preuve scientifique et démontrer l’efficacité de la méthode », notamment « sur des paramètres de santé ».

Philippe Langohr a aussi partagé son expérience personnelle de l’obésité, à partir de laquelle notre méthode a été fondée. Pour réussir le combat, « l’alimentation est importante, mais on a besoin d’encouragements et de soutien. C’est pourquoi le coaching est la base de dietplus. On a rajouté des compléments alimentaires, parce qu’on s’est rendu compte que la phytothérapie pouvait aider la perte de poids. Notre concept est donc vraiment global ».

Une étude scientifique aux résultats probants

Le professeur Houben a ensuite présenté les conditions de réalisation de l’étude, menée entre 2021 et 2023 sur 170 clients volontaires, ainsi que ses principaux résultats. Une étude de très grande ampleur, en témoignent ces deux chiffres :

  • plus de 12 000 données ont été enregistrées et traitées ;
  • 15 pages de publication y ont été consacrées dans la prestigieuse revue scientifique Nutrients, en novembre 2023.
    Au terme de 12 semaines de programme dietplus, une perte moyenne de 10 kg a été constatée (et renforcée d’1 kg au terme des 12 semaines suivantes). Ce qui équivaut à une perte de 33 % de l’excès de poids.

Cette perte se fait essentiellement au niveau de la masse graisseuse ; la masse musculaire et la masse hydrique restent stables.
Des éléments probants, mais qui n’ont pas de quoi étonner les coachs dietplus, qui constatent chaque jour de tels résultats sur leurs clients.

Encore plus intéressantes sont les données concernant les paramètres de santé. Parmi les participants à l’étude, 33 personnes étaient sujettes à l’hypertension au commencement de leur programme dietplus. Au terme des 12 semaines, « sans aucun médicament sans aucune interférence « médicale » proprement dite, 14 de ces sujets ont normalisé leur tension artérielle et, par ailleurs, leur rythme cardiaque. La perte de poids s’est accompagnée d’une réduction du risque cardiovasculaire », a souligné le Pr Houben.
La santé des clients observés s’est également améliorée à travers l’évolution favorable du cholestérol, du taux d’insuline ou encore du syndrome inflammatoire.

Changements d’habitudes et nouveaux comportements

La durabilité de la perte de poids, enjeu majeur du traitement de l’obésité, passe par un changement de certains comportements et habitudes.

L’étude montre que la méthode dietplus agit positivement sur « les volumes des repas, la fréquence de ces repas, la consommation de collations, la diminution des softs et surtout des boissons pétillantes », a énuméré le Pr Houben. L’étude met aussi en évidence que les personnes suivies par dietplus passent moins de temps devant leurs écrans pendant leurs repas.

« Ces changements de comportement, c ‘est vraiment le fruit du travail des coachs, et je tiens à les en féliciter », a dit Philippe Langohr.

Dans la 2e partie du webinaire, les deux intervenants ont également répondu à de nombreuses questions posées par les participants.

Le dirigeant de dietplus a conclu : « Cette étude marque le démarrage de nos actions vers le corps médical. Si un médecin est intéressé, il peut prendre contact avec nous, et nous pourrons lui donner toutes les informations dont il peut avoir besoin ! »

Pour les personnes souhaitant entreprendre ou se reconvertir dans le domaine de la nutrition, le concept dietplus ajoute un nouvel avantage à sa liste : il s’appuie sur une démarche scientifique complète, allant de la validation de la méthode de perte de poids jusqu’à la vérification des résultats !

Le présent article a été rédigé sur la base de données et informations à portée scientifique collectées, sélectionnées et approuvées par notre comité scientifique. Il a pour objet de fournir une lecture de données scientifiques et n’a nullement vocation à établir un diagnostic médical, ni à remplacer l’avis d’un professionnel du secteur médical. Les informations qu’il contient constituent des présentations de conclusions issues d’examens de données qui ne doivent pas être considérées comme pouvant s’appliquer automatiquement et individuellement aux personnes présentant des troubles médicaux similaires. Nous invitons bien évidemment nos lecteurs à poursuivre leur réflexion et à soumettre leurs questions à leur médecin traitant ou à tout autre professionnel du secteur médical.

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